Le rapport, avec l’aval d’anciens dirigeants emblématiques du secteur de la finance, est adressé aux décideurs publics et privés.
Le rapport suggère que [le manque à financer] est mobilisable en plaçant la valeur du capital naturel au cœur des modèles économiques et des marchés financiers.
Le manque à financer est estimé entre US$ 598 Bn et US$ 824 Bn par an selon le rapport. US$ 700 Bn est la valeur retenue par la COP 15 (GOAL D).
La convention de Kunming-Montréal renvoie vers ce panier de solutions dans ses objectifs.
“Philanthropy is a way to distribute profit. Investing is a way to create profit”
La COP 15 se termine sur un accord remarquable pour la protection de la nature. Il consiste en particulier à fixer des limites à l’expansion des activités humaines par des objectifs quantitatifs globaux de réduction des impacts de nos activités sur la nature, tels que
Avoir protégé 30% de la surface terrestre et marine d’ici 2030 ou avoir restauré 30% des aires dégradées d’ici 2030.
Le rapport Financing Nature, préparé par le Paulson Institute, The Nature Conservancy et le Cornell Atkinson Center for Sustainability, a probablement joué un rôle dans l’accord de Kunming-Montréal.
Le rapport, avec l’aval d’anciens dirigeants emblématiques du secteur de la finance (Michael Bloomberg, Mark Carney, Mario Draghi), est adressé aux décideurs publics et privés et au secteur financier et destiné à éclairer les négociations du « Post-20 Biodiversity Framework ».
Il construit les scénarios économiques nécessaires pour rendre la biodiversité « bancable » et amener ces acteurs à développer de nouvelles politiques publiques et de nouveaux services financiers dont l’objet est le ralentissement et l’arrêt de la perte de biodiversité à l’échelle mondiale.
Le manque à financer est estimé entre US$ 598 Bn et US$ 824 Bn par an selon le rapport. US$ 700 Bn est la valeur retenue par la COP 15 (GOAL D).
Le rapport suggère qu’il est mobilisable en plaçant la valeur du capital naturel au cœur des modèles économiques et des marchés financiers. Le rapport retient ainsi, parmi l’ensemble des solutions identifiées par l’UNDP (UNDP BIOFIN catalogue of Finance Solutions) un jeu de mécanismes financiers et de politiques publiques à mettre en œuvre rapidement pour atteindre cet objectif, dont l’arrêt des politiques de subventions aux secteurs ayant les plus forts impacts.
La convention de Kunming-Montréal renvoie vers ce panier de solutions dans ses objectifs qui engagent à réduire de US$ 500 Bn par an les subventions les plus impactantes d’ici 2025 (Target 18) et à mobiliser au moins US$ 200 Bn par an d’ici 2030 de ressources publiques et privées à la mise en œuvre de stratégies nationales pour la Biodiversité (Target 19), comblant ainsi le manque à financer de US$ 700 Bn par an.
Le plus dur désormais est le développement massif de projets qui permettent à la finance de tenir ses promesses tant en volume, qu’en qualité.
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